Essentiel·le·s mais non protégé·e·s : comment les travailleuse·eur·s de l’informel ont-elles·ils fait face aux risques sanitaires de la pandémie ?
Conclusions principales et recommandations en matière de politiques relatives les risques pour la santé des travailleuse·eur·s de l’informel sous l’effet de la COVID-19.
Entre février et juin 2020 :
1. Les travailleuse·eur·s de l’informel ont fourni des services essentiels tout au long de la pandémie, ce qui les a directement exposé·e·s à des risques pour leur santé physique et mentale et a menacé leur bien-être.
2. Malgré la nature essentielle de leur travail, les travailleuse·eur·s du secteur informel n’ont pratiquement pas été protégé·e·s, et les coûts d’obtention d’équipements de protection individuelle (EPI) et d’accès à l’eau potable et aux installations sanitaires sont supportés par les travailleuse·eur·s elles·eux-mêmes.
3. L’aide mutuelle et la solidarité en matière de santé offertes par les organisations de travailleuse·eur·s de l’informel aux communautés de travailleuse·eur·s se sont avérées vitales en l’absence de soutien gouvernemental.
4. Le début de la pandémie a nécessité une plus grande sensibilisation à la santé et à la sécurité au travail parmi les travailleuse·eur·s de l’informel, ce qui peut avoir des avantages à long term.
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