Au Togo, selon l’OIT (Organisation internationale du Travail), 92,8 % de la main-d’œuvre est informelle.1 Cela signifie qu’une grande partie de la population togolaise est vulnérable aux crises et aux risques qui pourraient avoir un impact sur leurs moyens de subsistance. Au cours de la dernière décennie, le pays a toutefois connu de nombreux progrès dans l’extension de la protection sociale aux travailleuse·eur·s de l’informel. Dans cette note d’information, nous suivrons cette lutte, en examinant comment les organisations de travailleuse·eur·s, les organisations internationales et la société civile ont contribué aux progrès récents de la protection sociale des travailleuse·eur·s de l’informel au Togo.