Par
Edwin Bett, WIEGO
Les travailleuse·eur·s à domicile en Afrique se trouvent à la base des chaînes d’approvisionnement de l’artisanat. En comprenant mieux ces chaînes d’approvisionnement, elles·ils pourraient surmonter certains des défis rencontrés et améliorer leurs moyens de subsistance.
Articles récents
Par
Jenna Harvey
En rendant les entreprises responsables des déchets qu’elles produisent et en offrant des biens et des services accessibles à la classe ouvrière, les récupératrice·eur·s et les vendeuse·eur·s de New York démontrent qu’il existe une alternative au modèle de développement urbain du statu quo qui favorise quelques intérêts d’élite au détriment de la majorité.
Par
Federico Parra, Renata Farías
L’idée que les coopératives ne parviendraient pas à constituer une alternative viable au système économique actuel en raison d’un prétendu manque de productivité est un mythe. L’amélioration des conditions de travail et du bien-être des personnes favorise la productivité – et non l’inverse.
Organiser et organisations, Protection sociale, Autonomisation économique des femmes, Garde d'enfants, Formalisation / Formaliser, Coopératives/Syndicats/Organisation, Économie/Finances/Fiscalité, Environnement/Changement climatique, Genre et recyclage des déchets, Moyens de subsistance, Santé des travailleuse·eur·s, Sécurité sur le lieu de travail, Pauvreté / Inégalité
Une étroite collaboration entre les organisations de travailleuse·eur·s non salarié·e·s dépendant·e·s à domicile et leurs alliées clé a remporté une grande victoire : pour la toute première fois, la législation de l’UE en matière de durabilité des entreprises protégera les droits humains de la totalité des travailleuse·eur·s de la chaîne d’approvisionnement, y compris les travailleuse·eur·s non salarié·e·s dépendant·e·s à domicile.
Si les gouvernements ne réussissent pas à créer des emplois, mais criminalisent les citoyen·ne·s qui créent leurs propres emplois, ils risquent d’engendrer l’instabilité sociale. Et pourtant, les autorités refusent systématiquement de dialoguer avec les vendeuse·eur·s de l’informel pour débattre d’un cadre légal favorable à règlementer leur utilisation de l’espace public. Les autorités ne font que considérer les vendeuse·eur·s de rue et autres travailleuse·eur·s de l’informel comme des sources de revenus.
Par
Adama Soumare
Les vendeuse·eur·s de rue de Dakar se sont uni·e·s au sein de la PASI, afin de faire valoir leurs droits et de proposer des solutions alternatives aux évictions et recasements imposés par les autorités.